Message de la bibliothèque de Trélévern qui accueillera notre correspondant de presse du “Trégor” : Jean-Luc Gourdin
Séances de dédicaces (à partir de 18H) et lectures (à 19H) les 9, 10 et 11 août à Port L’Épine, espace Ti Armor, Trélévern
Deux auteur(e)s seront présent(e)s avec leurs derniers ouvrages : Dominique Bertinotti avec LES NON-DITS et Jean-Luc Gourdin avec SPIRALES
Le texte (4èmes de couvertures)
LES NON-DITS
Mettre en scène une histoire familiale fondée sur les non-dits et les secrets générateurs de douleurs et de souffrances souvent tues ou refoulées. Choisir d’offrir un dépassement du temps ordinaire, celui de la vie et de la mort, d’abolir la linéarité du temps, mêlant générations disparues et vivantes autour d’un repas dont le désordre de la table familiale symbolise le désordre de cette histoire familiale. Rompre enfin avec les non-dits
L’auteure : Le théâtre et la poésie ont toujours été présents dans la vie quotidienne de Dominique Bertinotti, depuis son enfance jusqu’à son parcours universitaire, d’historienne, et même politique. Cette pièce de théâtre est sa manière de rendre hommage aux mots, à leur importance, à leur signification , ainsi qu’à leur diversité, afin de refléter toutes les nuances de la vie.
SPIRALES
« Seul le mouvement est !
L’infini est son chemin
La lumière sa chaude substance
L’univers est son navire
La matière son enfant
Les ténèbres sont l’océan
Le verbe son continuum révélé
L’espace-temps son écrin auto créé
L’amour sa force créatrice
L’esprit son ordonnateur
La conscience son architecte
La vie son arborescence
L’humanité une foisonnante floraison
La liberté son credo
L’art son langage universel
La mort son indispensable lien
La spirale est sa forme »
L’auteur : Opérateur radio, employé administratif, ancien maire, et aujourd’hui correspondant de presse, Jean-Luc Gourdin est un passionné de poésie, de littérature et de philosophie. Il souhaite apporter sa pierre à la compréhension du monde et de la vie en abordant la notion d’infini. Sa réflexion s’axe sur la nécessité d’admettre l’infini comme condition initiale d’acceptation de notre finitude.